OTTAWA
– Les garçons sont aussi susceptibles que les filles d’envoyer ou de recevoir
des sextos, selon le Centre canadien d’éducation aux médias et de littératie
numérique, HabiloMédias.
L’étude
qui a sondé 5400 élèves du secondaire sur leurs comportements et attitudes sur
internet comprenait un volet sur les relations amoureuses et le sexe à l’ère
numérique.
Ce
volet révèle que moins d’un jeune ayant accès à un cellulaire sur dix affirme
avoir déjà envoyé un sexto. Près d’un quart d’entre eux affirment toutefois
avoir déjà reçu un sexto et près d’un cinquième d’entre eux affirment avoir
déjà reçu un sexto retransmis par quelqu’un d’autre que son créateur.
Si
les garçons et les filles ont sensiblement les mêmes habitudes, les sextos des
garçons sont plus susceptibles d’être retransmis, selon l’étude.
«Il
faut changer la culture relative au sextage en promouvant les relations saines
et en aidant les jeunes à envisager le sextage comme une question éthique», a
indiqué Cathy Wing, codirectrice exécutive chez HabiloMédias, dans un
communiqué de presse.
Pornographie
en ligne
Les
garçons seraient cependant plus nombreux que les filles à rechercher de la
pornographie sur internet. Ils sont 40 % d’entre eux à le faire contre 7 % chez
les filles.
De
façon générale, le nombre de jeunes cherchant du contenu pornographique en
ligne a doublé entre 2005 et 2013, passant de 16 % à 23 %.
Sources :
AGENCE QMI
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