2025 : La génération Z prend le pouvoir


A l’horizon 2025, la génération Z atteindra la trentaine, ce qui signifie qu’elle sera implantée en entreprise, prenant ainsi le pouvoir et en même temps le relais de la génération Y à des postes hyperconnectée.
Cet article s’attardera sur ce que l’on entend par génération Z et ce que cela va changer au niveau des RH en 2025.
Après la génération Y, terme qui est devenu à la mode — la vidéo de l’agence Adesias & la une du magazine les Inrocks en sont les exemples — place à la génération Z (génération C ou génération Y’).
Après la génération Y, la génération C /  Z  / Y'

La génération Z, aussi appelé génération C ou génération Y’

La frontière est assez mince entre la génération Y et la génération Z, mais il fallait trouver une limite.
Bien que ces deux générations n’aient que peu d’années d’écart, il semblerait qu’elles aient chacune grandit dans un contexte marqué par des évolutions (principalement technologiques) extrêmement rapides, ce qui ne fait qu’amplifier le fossé qui les sépare.
La Génération Silencieuse est une génération sociologique un terme apparu le 5 novembre 1951 en couverture du Time se référant à la génération atteignant l’âge adulte à ce moment.
Cette génération est née entre la grande dépression et la deuxième guerre mondiale. Elle est réputée travailler dur et ne pas être revendicative, d’où son nom.

Source : Wikipedia, Génération silencieuse
Suivant le cylce de renouvellement des génération de la théorie des générations de Neil Howe et William Strauss, la génération Z aussi appelée nouvelle génération silencieuse, et se se caractérise par son âge et sa position générationnelle.
Explication :
  • L’âge est un des facteurs déterminant d’une catégorie générationnelle, celle-ci (selon plusieurs sources) semblent être née vers 1995.
  • La position générationnelle parce que la Z suit directement la génération Y, mais aussi parce qu’il semble avoir une distinction entre ces catégories de personnes, d’où la distinction de génération.
Génération Z, adepte du controle ZLa génération Z c’est aussi, le désintérêt du papier au profit de l’écran, où Internet est roi depuis n’importe quel support (ordinateur fixe, ordinateur portable, tablette ou téléphone).
Soit l’application du monde digital dans la vie réelle, et non l’inverse comme les générations précédentes.
Cette génération n’est pas gênée par la mort du format papier par exemple, que cela s’applique aux journaux, aux livres ou aux polycopiés de cours.
Un autre fait, la génération Z est aussi appelée génération C. Le C représentant la Communication, la Collaboration, la Connexion et la Créativité.
Qu’est-ce que cela change de dire que cette génération Z peut être la génération C ?
Tout et rien à la fois me direz-vous, et bien vous avez raison.
Rien parce que finalement, que les gens l’appellent génération Z ou génération C le principe est le même : hyperconnectée et ayant grandi avec un web collaboratif et connecté.
Tout parce que C signifie bien Communication, soit une communication à un tout autre niveau ; Collaboration, soit une activité et un modèle économique différent en entreprise, comme dans la vie de tous les jours ; Connexion, soit une appréhensions différentes des contacts et de la transmission d’informations ; Créativité, soit l’arrêt des frontières dans le processus de création.
Cependant, la génération Z est aussi appelée génération Y’ serait la simple suite et copie de la génération Y. La génération Y’ n’aurai rien inventé et seulement copié, voir mal copié.

La génération Z, qu’est-ce que ça change concrètement ?

Generation Z, les fanatiques religieuxLa génération Z, contrairement à la génération Y, a toujours connu ce que l’on appelle le web 2.0 et la collaboration qui lui est liée.
Elle prend donc ce web collaboratif comme acquis et non comme un outil (qui peut évoluer).
Certains résume la génération Z comme une génération passive ou silencieuse.
Ce que ça change concrètement dans le monde de l’entreprise : il n’y a plus de réflexion de la part des personnes appartenant à cette génération quant à l’application de stratégies sur ces “nouveaux médias”. Ce manque de réflexion est lié à un manque de motivation et d’implication.
Cette génération, selon les spécialistes, ne fait plus réellement la distinction entre contacts réels (IRL) et contacts virtuels ; dû, sûrement, à leur hyperconnectivité constante.
Les recruteurs, dans ce type de postes, ne voient pas de réel intérêt à embaucher ces personnes, qui n’apportent selon eux, pas de plu-value. Une génération, même superficielle selon Le Figaro (5 avril 2012, 14h25) ou plutôt avec des connaissances superficielles. Ils utiliseraient plutôt les médias sociaux dans un but récréatif que dans un but formateur ; ce qui rejoint l’idée du manque de réflexion.

Conclusion générationnelle

Il ne faut pas pour autant appréhender comme une menace, cette génération Z, mais plutôt comme uneadaptation transversale : au temps du point de vue des personnes faisant partie de cette génération, que des personnes qui vont être amenés à travailler avec elle.
En tant que membre de la génération Y, je ne peux pas dire que les membres de la génération Z me font peur ou que je les crains. Mais, oui parce qu’il y a un mais, je suis curieux de voir concrètement ce que cette génération hyperconnectée saura apporter à l’entreprise que cela soit au niveau des RH, de la communication, du marketing ou dans toutes les autres branches de l’entreprise.
De moins point de vue actuel, je verrai plus cette génération comme la génération Y’ : génération qui s’est servi de l’abaissement des barrières numériques pour les intégrer dans la vie de tous les jours. Cette disparition des barrières, ayant été permis dans un premier temps par la mondialisation, mais aussi par les membres de la génération Y.
En 2025, on peut se demander si l’arrivée de la génération Z à des postes décisionnels, signifie la fin de l’entreprise comme nous la connaissons.
Soit une entreprise démarterialisée, mais aussi une entreprise qui n’a plus « peur » d’être sur le web en ayant intégré Internet au sein de son processus décisionnel.
Une autre interrogation peut nous venir à l’esprit :
n’y aura-t-il pas un « conflit » sur certaines tâche ou certains corps de métier entre la génération Y et la génération Z ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire